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 Liam Fenris Phoenyx

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MessageSujet: Liam Fenris Phoenyx   Liam Fenris Phoenyx Icon_minitimeJeu 7 Juil - 16:25

    Liam Fenris Phoenyx Liam

    Surnom :
    Nom de code : Catharsis. La belle purgation des passions, mon œil oui.
    Date de naissance, âge : 17 novembre, 18 ans.
    Groupe : Rebelles.
    Fonction : Simple membre, il ne fait que suivre celui pour qui il vit.
    Anti-impérialiste, même si parfois il ne comprend pas vraiment tout.

    » Caractère

    Banalité originale. Naïveté mature. Amour déçu et pourtant enflammé. Détermination bien vite brisée. Obstacles infranchissables mais bien vite dépassés. Optimisme mort. Sourire froid et froid brûlant.

    Et si on se disait qu’on était des copies exactes toi et moi. Et si on se disait que tu vivrais pour moi, et moi pour toi. On fera le tour du monde, des époques, des situations. On partagera nos sentiments, on partagera nos réactions, toi et moi. Je suis tu. Tu es je.

    Globalité ; La première chose qu’on pourrait dire sur Liam, c’est qu’il est un homme jovial, souriant, bavard, peut-être un peu trop parfois. Selon son humeur, il peut rester très distant et muet comme il peut vous noyer sous ses paroles, parfois inutiles, mais toujours … optimistes ? Il trouve toujours des anecdotes, des petites blagues vaseuses pour éviter un profond silence, chose qu’il redoute souvent car cela le rend extrêmement mal à l’aise. C’est pourquoi il essaie constamment de meubler la conversation et de la maintenir active jusqu’à l’épuisement total de son camarade. Souvent qualifié d’intelligent, il doute de lui-même face à ses proches mais arbore un large sourire victorieux face aux autres. En parlant de ceux-là, Liam essaie constamment de se démarquer des gens qui l’entourent, tant par sa tenue vestimentaire que par sa personnalité. Il refuse de rentrer dans un moule préfabriqué pour ressembler à des millions d’autres, estimant que la beauté humaine s’illustre dans sa flamme unique. Il reste néanmoins quelqu’un d’extrêmement ouvert vers les autres, prônant la différence et la diversité, dénonçant la banalité et ses excès. Sympathique et généreux, il pourrait même être qualifié de sociable même s’il fait parfois preuve de timidité. Les premiers pas sont souvent durs pour lui car il n’est pas toujours confiant dans l’image qu’il renvoie aux autres, mais lorsqu’il est lancé impossible de l’arrêter. Avec la plupart de ses camarades, Liam mène la danse, bannissant l’ennui, le silence, et la solitude. Le jeune homme se fait des amis relativement vite mais ne cherche pas pour autant à les collectionner, préférant la qualité à la quantité, ne cherchant pas à être connu de tous mais plutôt à s’amuser et à passer de bon moment, loin du regard des autres. A l’écoute, le jeune homme prend souvent le moindre des problèmes de ses proches au sérieux, allant jusqu’à s’inquiéter pour un rien et à s’en rendre malade. Il a parfois peur de faire du mal à ses amis mais lorsqu’il le faut il sait aussi foncer dans le tas pour se faire respecter et défendre son point de vue, détestant plus que tout se voir attribuer les pires maux de manière injustifiée. Il aimerait pouvoir se dire qu’il ne recule devant rien mais le moindre des petits obstacles qui barrent sa route sont pour lui infranchissables, souvent de manière exagérée. Régulièrement, et parfois pour des raisons profondément futiles, le stress monte en lui jusqu’à le rendre malade, accélérant fortement son rythme cardiaque et le faisant sujet à des nausées qui vont parfois jusqu’aux vomissements. Pour autant, au fil du temps, il réussit peu à peu à dompter cet « handicap » et à maîtriser ce stress en le cachant aux yeux de tous et en le subissant du mieux qu’il peut avec cet éternel sourire aux lèvres.
    Lorsqu’il n’obtient pas ce qu’il veut ou qu’il s’est levé du mauvais pied, Liam est souvent désagréable, et bien que ça ne soit pas dans sa nature, il peut commencer à faire preuve de méchanceté, devenant presqu’indifférent aux autres. Ces traits de caractères le transforment en quelqu’un d’irritant voire détestable de part sa façon de réagir qui va de la parole froide et mauvaise à l’indifférence la plus totale. Il s’énerve vite et est quelque peu susceptible, pour autant il se cache souvent derrière une pseudo-gentillesse pour essayer de se canaliser et oublier ce qu’il pense vraiment. De peur de vexer son entourage ou porter atteinte à l’intégrité de quelqu’un, il lui arrive parfois de faire semblant, sourire alors qu’il ne le veut pas, rester gentil alors qu’il pense le contraire. Liam a souvent peur de montrer sa tristesse aux yeux de tous et préfère être à l’abri des regards extérieurs pour laisser ses larmes couler quand il a l’impression de perdre pied.

    Amour et amitié ; L’amour a toujours été une utopie pour Liam. Il l’a parfois effleuré, parfois atteint, mais ce fut succinct et cela reste dans le passé dorénavant. Il ne vit pas particulièrement pour ça même si parfois il se sent seul. Le jeune homme a trouvé quelqu’un pour qui vivre maintenant, alors il s’en fout bien du reste tant que Shame est là.
    Sur le plan de l’amitié, Liam fait parti de ce genre de personnes sur qui l’on peut compter. Ouvert, généreux et attentionné, il est toujours au petit soin de ses amis, même si ce n’est pas réciproque et que ça le fait souffrir parfois. Il est plutôt du genre à mener qu’à suivre et parfois ça l’amuse d’en jouer sur certaines personnes. Gentiment.

    » Physique
    De toute évidence la Nature, elle était de ton côté hein.

    Encore la partie que je hais le plus au monde, c’en devient maladif comment je redoute la rédaction du physique de mes personnages. C’est grave docteur ? Peur de faire dans le narcissisme ou dans la recherche d’une perfection manquant de crédibilité, on ne peut rien faire de mieux. Tentons !
    Liam est un dieu. – non je rigole – Mais presque. Il possède un visage aux traits fins doté d’une peau lisse et pâle. Assez expressif, il fait plus jeune que son âge et parfois ça l’emmerde grave qu’on le compare à des teubés bien plus jeune que lui. Ca le vexe et le complexe légèrement même s’il n’ose pas l’avouer et qu’il se cache derrière son fameux « comme ça quand les autres auront des rides, moi je serais encore jeune ». Au niveau es yeux, que peut-on dire. Ils sont dotés d’une belle couleur bleue. Le moindre sentiment de Liam y est lisible et parfois, ça aussi, ça l’emmerde. On dit souvent de lui qu’aux premiers abords il a un regard distant voire méchant, mais il se détend bien vite pour devenir agréable, certains petits rigolos se plaisent à lui rappeler que la moindre pensée se voit projetée sur ses prunelles. De longs cils encadrent son regard à la fois dur et enjoué. Le jeune adulte rougit excessivement et parfois pour aucune raisons valables, ça aussi, ça amuse certains. Il aime se dire qu’il est taille moyenne et que tous les gens qui l’entourent sont juste des géants, mais le fait est qu’il est légèrement en-dessous de la moyenne sans que ça soit flagrant. Il fait semblant de bien le vivre même si certains de ses amis le charrient là-dessus. Ses cheveux … Ils sont mi-longs voire courts d’un bel argenté. Lisses, soyeux, et tout le toutin hein ! Un coup à vous amuser à passer vos mains dedans, et je ne vise personne. Mais revenons à son corps. Il est donc de taille « moyenne », fin et élancé. Liam fait très attention à son corps et tente tant bien que mal de surmonter sa gourmandise pour ne pas foutre tous ses efforts en l’air. Peu musclé pour l’instant, il compte bien s’entraîner pour devenir plus fort pour ne pas se voir répéter les mêmes erreurs. Sur son abdomen se trouve une large cicatrice en forme de croix, un peu spéciale. Parfois encore douloureuse, le jeune homme essaie tant bien que mal de la cacher, même si certains diront que ça donne un genre et de la virilité, à ses yeux ce ne sont que des souvenirs douloureux du passé. Pour autant, il tente d’accepter cette nouvelle présence sur son ventre en s’apprenant à l’apprécier. Niveau vêtements, Liam est assez décalé et aime oser des tenues assez étranges pour se démarquer des autres.


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MessageSujet: Re: Liam Fenris Phoenyx   Liam Fenris Phoenyx Icon_minitimeVen 15 Juil - 0:27



Liam Fenris Phoenyx Sanstitre-1-4

Liam F. Phoenyx

© Heart
Liam Fenris Phoenyx Akira-trueblood_evitalize
Liam Fenris Phoenyx Chain-victory_evitalize
Liam Fenris Phoenyx Akira-uke_evitalize
Liam Fenris Phoenyx Hoza104-18
Liam Fenris Phoenyx Anjichan_nitroplus_007
« WE ALL FALL DOWN LIKE TOY SOLDIERS. »

# VOUS ÊTES :

PRÉNOM(S), NOM - Liam Fenris Phoenyx
SURNOM - Catharsis Perdue
ORIGINES - Français pur souche.
DATE, LIEU DE NAISSANCE & AGE - 17 novembre ; France ; 18 ans.
SIGNE ASTROLOGIQUE - Scorpion. Et paraît-il que les Scorpions ont mauvais fond.
ORIENTATION SEXUELLE - 99% Homosexuel, le pourcentage restant englobe les quelques expériences.
PARTICULARITÉ - Il vit dans une caravane et il se bat à l'arme blanche.
VOS LIEUX DE RÉSIDENCE - Il suit Shame, c'est tout. Quand ce n'est pas le cas, il aime se poser dans un coin à beaux paysages pour rêver et s'inspirer.
CAMP - Civil.
UNE PROFESSION EXERCÉE ? - Il aimerait se dire qu'il est artiste mais n'est pas assez éclairé pour l'affirmer, sûrement. Il vit de l'argent que lui envoient ses parents, il ne fait rien de bien précis, gagnant sa vie comme il peut. Aléatoirement en somme.
RANG DE DÉPART - F

# BEHIND THE SCREEN :

PRÉNOM - Justine || Hyl
AGE - Bientôt 17 ans.
SEXE - F.
DOUBLE COMPTE ? TC de Lavi Bookman Jr et Nemesis Crowford
NIVEAU RP - Bon ?
UNE REMARQUE SUR LE FORUM - EUH.
VANILLE OU CHOCOLAT ? - Si c'est sur le corps de Shame ...
CODE - Autovalidation. >8D



YOU CAN'T SEE ME BUT I CAN SEE YOU
Quelle est cette ivresse qui nous entraîne. Plaisir incomplet. On a plus le droit de se retrouver.
Liam Fenris Phoenyx J8a-psh-06


De toute évidence la Nature, elle était de ton côté hein.

Encore la partie que je hais le plus au monde, c’en devient maladif comment je redoute la rédaction du physique de mes personnages. C’est grave docteur ? Peur de faire dans le narcissisme ou dans la recherche d’une perfection manquant de crédibilité, on ne peut rien faire de mieux. Tentons !
Liam est un dieu. – non je rigole – Mais presque. Il possède un visage aux traits fins doté d’une peau lisse et pâle. Assez expressif, il fait plus jeune que son âge et parfois ça l’emmerde grave qu’on le compare à des teubés bien plus jeune que lui. Ca le vexe et le complexe légèrement même s’il n’ose pas l’avouer et qu’il se cache derrière son fameux « comme ça quand les autres auront des rides, moi je serais encore jeune ». Au niveau es yeux, que peut-on dire. Ils sont dotés d’une belle couleur bleue. Le moindre sentiment de Liam y est lisible et parfois, ça aussi, ça l’emmerde. On dit souvent de lui qu’aux premiers abords il a un regard distant voire méchant, mais il se détend bien vite pour devenir agréable, certains petits rigolos se plaisent à lui rappeler que la moindre pensée se voit projetée sur ses prunelles. De longs cils encadrent son regard à la fois dur et enjoué. Le jeune adulte rougit excessivement et parfois pour aucune raisons valables, ça aussi, ça amuse certains. Il aime se dire qu’il est taille moyenne et que tous les gens qui l’entourent sont juste des géants, mais le fait est qu’il est légèrement en-dessous de la moyenne sans que ça soit flagrant. Il fait semblant de bien le vivre même si certains de ses amis le charrient là-dessus. Ses cheveux … Ils sont mi-longs voire courts d’un bel argenté. Lisses, soyeux, et tout le toutin hein ! Un coup à vous amuser à passer vos mains dedans, et je ne vise personne. Mais revenons à son corps. Il est donc de taille « moyenne », fin et élancé. Liam fait très attention à son corps et tente tant bien que mal de surmonter sa gourmandise pour ne pas foutre tous ses efforts en l’air. Peu musclé pour l’instant, il compte bien s’entraîner pour devenir plus fort pour ne pas se voir répéter les mêmes erreurs. Sur son abdomen se trouve une large cicatrice en forme de croix, un peu spéciale. Parfois encore douloureuse, le jeune homme essaie tant bien que mal de la cacher, même si certains diront que ça donne un genre et de la virilité, à ses yeux ce ne sont que des souvenirs douloureux du passé. Pour autant, il tente d’accepter cette nouvelle présence sur son ventre en s’apprenant à l’apprécier. Niveau vêtements, Liam est assez décalé et aime oser des tenues assez étranges pour se démarquer des autres.
.


I WANNA LOVE YOU
Quelle est la raison pour tous ces mensonges. On a plus le droit de se renfermer. Pour nous sauver de nous-mêmes.
Liam Fenris Phoenyx Slyth015


Banalité originale. Naïveté mature. Amour déçu et pourtant enflammé. Détermination bien vite brisée. Obstacles infranchissables mais bien vite dépassés. Optimisme mort. Sourire froid et froid brûlant.

Et si on se disait qu’on était des copies exactes toi et moi. Et si on se disait que tu vivrais pour moi, et moi pour toi. On fera le tour du monde, des époques, des situations. On partagera nos sentiments, on partagera nos réactions, toi et moi. Je suis tu. Tu es je.

Globalité ; La première chose qu’on pourrait dire sur Liam, c’est qu’il est un homme jovial, souriant, bavard, peut-être un peu trop parfois. Selon son humeur, il peut rester très distant et muet comme il peut vous noyer sous ses paroles, parfois inutiles, mais toujours … optimistes ? Il trouve toujours des anecdotes, des petites blagues vaseuses pour éviter un profond silence, chose qu’il redoute souvent car cela le rend extrêmement mal à l’aise. C’est pourquoi il essaie constamment de meubler la conversation et de la maintenir active jusqu’à l’épuisement total de son camarade. Souvent qualifié d’intelligent, il doute de lui-même face à ses proches mais arbore un large sourire victorieux face aux autres. En parlant de ceux-là, Liam essaie constamment de se démarquer des gens qui l’entourent, tant par sa tenue vestimentaire que par sa personnalité. Il refuse de rentrer dans un moule préfabriqué pour ressembler à des millions d’autres, estimant que la beauté humaine s’illustre dans sa flamme unique. Il reste néanmoins quelqu’un d’extrêmement ouvert vers les autres, prônant la différence et la diversité, dénonçant la banalité et ses excès. Sympathique et généreux, il pourrait même être qualifié de sociable même s’il fait parfois preuve de timidité. Les premiers pas sont souvent durs pour lui car il n’est pas toujours confiant dans l’image qu’il renvoie aux autres, mais lorsqu’il est lancé impossible de l’arrêter. Avec la plupart de ses camarades, Liam mène la danse, bannissant l’ennui, le silence, et la solitude. Le jeune homme se fait des amis relativement vite mais ne cherche pas pour autant à les collectionner, préférant la qualité à la quantité, ne cherchant pas à être connu de tous mais plutôt à s’amuser et à passer de bon moment, loin du regard des autres. A l’écoute, le jeune homme prend souvent le moindre des problèmes de ses proches au sérieux, allant jusqu’à s’inquiéter pour un rien et à s’en rendre malade. Il a parfois peur de faire du mal à ses amis mais lorsqu’il le faut il sait aussi foncer dans le tas pour se faire respecter et défendre son point de vue, détestant plus que tout se voir attribuer les pires maux de manière injustifiée. Il aimerait pouvoir se dire qu’il ne recule devant rien mais le moindre des petits obstacles qui barrent sa route sont pour lui infranchissables, souvent de manière exagérée. Régulièrement, et parfois pour des raisons profondément futiles, le stress monte en lui jusqu’à le rendre malade, accélérant fortement son rythme cardiaque et le faisant sujet à des nausées qui vont parfois jusqu’aux vomissements. Pour autant, au fil du temps, il réussit peu à peu à dompter cet « handicap » et à maîtriser ce stress en le cachant aux yeux de tous et en le subissant du mieux qu’il peut avec cet éternel sourire aux lèvres.
Lorsqu’il n’obtient pas ce qu’il veut ou qu’il s’est levé du mauvais pied, Liam est souvent désagréable, et bien que ça ne soit pas dans sa nature, il peut commencer à faire preuve de méchanceté, devenant presqu’indifférent aux autres. Ces traits de caractères le transforment en quelqu’un d’irritant voire détestable de part sa façon de réagir qui va de la parole froide et mauvaise à l’indifférence la plus totale. Il s’énerve vite et est quelque peu susceptible, pour autant il se cache souvent derrière une pseudo-gentillesse pour essayer de se canaliser et oublier ce qu’il pense vraiment. De peur de vexer son entourage ou porter atteinte à l’intégrité de quelqu’un, il lui arrive parfois de faire semblant, sourire alors qu’il ne le veut pas, rester gentil alors qu’il pense le contraire. Liam a souvent peur de montrer sa tristesse aux yeux de tous et préfère être à l’abri des regards extérieurs pour laisser ses larmes couler quand il a l’impression de perdre pied.

Il ressent l'inflexible envie de se voir féliciter pour la moindre chose qu'il entreprend et est sous déçu lorsque personne ne lui fait de remarque.

Amour et amitié ; L’amour a toujours été une utopie pour Liam. Il l’a parfois effleuré, parfois atteint, mais ce fut succinct et cela reste dans le passé dorénavant. Il ne vit pas particulièrement pour ça même si parfois il se sent seul. Le jeune homme a trouvé quelqu’un pour qui vivre maintenant, alors il s’en fout bien du reste tant que Shame est là.
Sur le plan de l’amitié, Liam fait parti de ce genre de personnes sur qui l’on peut compter. Ouvert, généreux et attentionné, il est toujours au petit soin de ses amis, même si ce n’est pas réciproque et que ça le fait souffrir parfois. Il est plutôt du genre à mener qu’à suivre et parfois ça l’amuse d’en jouer sur certaines personnes. Gentiment.


KINGS & QUEENS
Je n'ai pas le temps de perdre la tête. On a plus le droit de fermer ces portes.
Liam Fenris Phoenyx B8n9Y

La honte ? Ne me fais pas avaler ça.

Je crois que le plus drôle dans cette histoire, c’est que je ne puisse plus vivre ni m’imaginer sans toi. Moi qui criais haut et fort que personne ne pourrait me dompter, moi qui affichait fièrement mes manques d’attaches. J’me disais que personne ne pourrait jamais monopoliser mon cœur, et que si tel était le cas, j’arriverais facilement à me libérer de ces chaînes. Moi qui m’ennuyais tellement chaque jour passant et qui me cachais derrière des faux semblants. Je croyais que jamais je ne trouverais quoique ce soit pour éveiller un tant soit peu mon intérêt. C’était faux. Tu es apparu sans nul besoin d’un tapis rouge, et tu t’es emparé de mon cœur aussi rapidement que ton sourire m’a troublé. Tu as foutu tous mes principes par terre, et tu les as piétinés sans rencontrer la moindre opposition. C’est ce qu’on appelle un coup de foudre, tu crois ? Avant je me moquais des jeunes filles qui couraient après l’amour et rentraient bredouille, à vrai dire je n’avais jamais réellement cherché à éprouver tels sentiments. Mais tu ne m’as pas laissé le choix, n’est-ce-pas. Et à ce moment là j’avais trop mal pour réfléchir, j’avais juste l’impression de mourir. J’ai cru que le monde allait m’abandonner, mais tu étais là pour me sauver, et il n’y avait plus rien d’autres à mes yeux.

Quand vous cherchez querelles, nous trouvons sourires. Quand vous mourrez d’ennuis, nous vivons ensemble.

La famille Phoenyx. C’est la splendeur dans sa forme la plus simpliste, le rire à la fois hurlant et plaisant, nul besoin de rôles surjoués ni d’artifices superficiels. Être naturel, se différencier, il n’y avait que ça d’important à nos yeux. S’affirmer et porter fièrement nos couleurs, crier haut et fort que nous étions nous-mêmes, non pas des poupées à qui on dictait les pas. Maîtres de nos destinées, marionnettistes de nos propres cœurs. Nous n’avions besoin de rien d’autres tant que les autres étaient là pour réchauffer nos sourires, et on se disait que ça resterait ainsi jusqu’à la fin des temps. Sûrement avions nous tort et raison à la fois. On ne pourra jamais être déconnecté les uns des autres, nos liens sont plus forts que tout et ça dépassait tant de gens. Mais la vie n’est pas si tranquille, et la monotonie se voit bien vite briser sous les assauts tranchants des aléas. Certains cracheront sur nos idéaux, on leur mettra sur la gueule pour se venger. Parce que ça nous faisait rire de se croire plus forts que tout, même si c’était évidemment faux. Et ce fut si douloureux de faire face à la réalité, implacable et cruelle. On croyait que ça arrivait qu’aux autres ce genre de connerie, que nous étions loin de tout ça. C’était bien con de vivre dans ces mirages, mais à quoi bon se morfondre quand nous étions heureux ensemble. Nous sommes tout et vous n’êtes rien, c’était bien beau de penser ça.

Prends une photo du monde, prends une photo de nos sourires. Eternels face à l’adversité, doux face aux obstacles, mauvais face aux erreurs. Donnez nous le pire, nous en ferons le meilleur. Laissez tout brûler pour sauver nos vies et nos droits. Nous nous battrons pour nos libertés.

Evoluant dans un clair-obscur flamboyant, trois jeunes garçons semblaient contempler avec émerveillement le plafond d’une petite chambre d’enfant. Cette dernière était plongée dans le plus gros bordel que la Terre n’ait jamais connu, le sol noyé sous des montagnes de vêtements et de babioles des plus inutiles, seul un étroit lit semblait réussir à se maintenir à la surface de cet océan de furie. Sur le fin matelas, les silhouettes des trois gamins enchevêtrés restaient immobiles dans ces ténèbres éblouissantes. Leurs poitrines se soulevaient à l’unisson, comme si les trois garçons respiraient exactement au même moment. Un silence à la fois pesant et chaleureux régnait dans la minuscule pièce. Et il n’y avait pas besoin qu’ils se parlent pour pouvoir se comprendre. Ils se connaissaient par cœur depuis le temps. De longues minutes s’effacèrent de leurs vies doucement avant que l’aîné n’ose prendre la parole.

« J’arrive pas à croire qu’on nous ait réuni. Vous croyez que c’est le destin ? Moi, je pense que c’est plutôt la chance.» Il se redressa sur ses coudes pour regarder les deux autres. Il aimait bien les observer de la sorte, comme s’il était leur ange gardien. Lui le plus âgé, lui qui veillerait sur eux jusqu’à la toute fin. C’était son rôle, n’est-ce-pas, d’être leur héros en quelque sorte. Parce que dans ce monde, se rattacher à une figure héroïque était la seule solution pour ne pas sombrer dans la folie. Son sourire immaculé semblait luire dans le noir avant de se répercuter sur les visages des deux autres. Il chercha du regard une source lumineuse tandis que Nathan se redressait à son tour.

« Feanor, te la joue pas sentimental. On le sait bien tout ça. Mais maintenant on est ensemble, il n’y a plus rien d’autres à ajouter. » Répondit celui qui semblait être entre les deux âges. Il lança une tape vers son frère aîné, le poussant gentiment avant de retomber sur le dos, écrasant le plus jeune de tout son poids sans aucun remords, pire, la victime semblait d’autant plus s’amuser avec l’autre débile appuyé sur son abdomen. « Et Liam il est trop con pour comprendre ça de toute façon. » Un rire moqueur s’échappa d’entre ses lèvres fines et souriantes tandis que le blondinet se tournait vers l’enfant qui déjà lui assénait un fébrile coup de coude dans les côtes.

Moi, je n’avais rien à répondre à ça, les mots me manquaient et d’un côté ça m’effrayait. Je suis le dernier fils d’une famille de trois enfants. Trois garçons extrêmement proches les uns des autres, évoluant sous les regards émerveillés de nos parents. Et je crois qu’il n’y a pas grand-chose à rajouter à vrai dire. C’était ce qui nous caractérisait et nous amusait le plus, ce lien à la fois explosif et passionnant. Nous, le trio presque infernal, qui en faisait voir de toutes les couleurs à Papa et Maman. On se foutait sur la gueule parfois, surtout Feanor et Nathan pour se la jouer mecs virils, mais on trouvait constamment de quoi s’occuper et s’amuser. Ensemble, plus que jamais. La barrière de l’âge, assez prononcée entre mes deux frères et moi, ne pouvait se dresser sur notre passage, trop faible pour prétendre oser corrompre nos liens. Nous étions infaillibles, indestructibles et nos promesses ne s’effaçaient jamais. On s’était juré de ne jamais se trahir ni se quitter, on s’était promis qu’on resterait ensemble jusqu’à la toute fin. On dormait ensemble à la belle étoile, on chantait à tue tête des chansons pourries à s’en éclater la gorge, on délirait de nos côtés, loin du regard jaloux du monde extérieur. Et je crois que personne ne pourra jamais rivaliser face à ce lien, vous ne croyez pas ? On ne pourra jamais nous arracher cet amour, arracher nos cœurs battants à tout rompre dans nos poitrines. Nous sommes bien trop forts trop ça, trop déterminés à sauver notre fraternité. Elle vaincra jusqu’à la dernière vermine s’il le fallait, on détruirait leur bêtise avec nos rires.

« Il faut juste remercier Papa et Maman. C’est tout. » Les deux autres observèrent Liam les yeux grands ouverts par l’amusement avant de tomber dans un incontrôlable fou rire ce qui faisait grincer la structure métallique du lit avec leurs soubresauts irréguliers. Le plus jeune d’abord surpris par cette réaction finit par les rejoindre en se tenant les côtes pour ne pas les perdre – parce que d’après les dires des deux autres, on pouvait perdre ses organes et ses os quand on riait trop fort. Foutaise et magnifique mensonge des deux autres qui se gardaient bien d’avouer leur farce. – Leurs voix résonnèrent dans toute la maison pendant de longues minutes, arrivant même aux oreilles des parents qui se regardaient à la fois attendris et amusés par la parfaite entente de leurs trois fils. Ils en étaient si fiers, si surpris aussi de constater que dans leur famille il n’existait que de rares et faibles accrochages. Puis les rires se calmèrent peu à peu, comme disparaissant dans les montagnes de vêtements qui jonchaient le sol de la petite chambre. Feanor ébouriffa les cheveux de son plus jeune frère, au même moment son estomac cria famine bruyamment et cela stoppa net leurs rires. Nathan lança un regard amusé vers l’aîné, allongé les bras croisés derrière sa tête. Un large sourire étirant ses lèvres rosées, le plus âgé ajouta fièrement et comme par automatisme : « Liam, tu sais ce qu’il te reste à faire ! Fais comme d’habitude pour convaincre Papa de nous faire des crêpes. » Nathan approuva l’idée en se précipitant vers les fenêtres pour ouvrir les volets, laissant de puissants rayons lumineux éclairer la pièce. Ils clignèrent tous des yeux pour s’adapter à ce Soleil chaleureux avant de tous se lancer un regard de défi. Ils hochèrent la tête en même temps comme si la scène avait été répétée des centaines de fois déjà, de l’extérieure ça paraissait limite sectaire. Le plus jeune leva les sourcils avant de se précipiter vers la porte puis descendre les escaliers en courant en direction de l’immense cuisine. Quelques minutes, non même pas, quelques secondes s’écoulèrent avant que sa frimousse réapparaisse dans l’antre du Diable. Un air à la fois fier et content de lui illuminait les traits juvéniles de l’enfant. « Papa a dit oui. » Les trois garçons retinrent un cri de joie et gardèrent leur triomphe au plus profond de leurs cœurs. Chacun frappa la main de l’autre avant que la course vers la cuisine ne commence. Après s’être poussé dans l’escalier, après avoir crié les uns sur les autres pour entrave à la descente de marches, après avoir essayé d’enfermer Liam dans les toilettes, chacun arriva tout essoufflé dans la cuisine où trônaient déjà de magnifiques crêpes. Ce même sourire, ce même rouge aux joues, et surtout cette même joie de vivre.

Nous avons toujours vécu ainsi même si en grandissant parfois il nous fallait nous séparer pendant de longs mois avant de se voir. On se disait que c’était le risque à prendre pour rester ensemble, après tout. Alors on faisait avec, parce qu’il n’y avait pas grand-chose à faire de toute façon. Les années passaient, et notre fraternité jamais ne fanait. Chacun de notre côté on se faisait nos expériences et quand l’évidence apparut au grand jour, celle qui confirmait que les filles ne présentaient aucun intérêt pour moi, vous avez accepté l’idée comme si elle n’avait rien à déranger. Ca n’a rien changé à notre relation, ni entre vous et moi, ni avec Papa et Maman. J’étais si fier d’arborer le nom de Phoenyx, si fier d’avoir une famille si parfaite. On s’en foutait bien des critiques, la jalousie n’avait aucun avenir.

Et j’ai bien cru que ce redoutable jour allait envoyer toutes nos belles paroles en l’air, j’ai bien cru ne jamais voir le soleil se lever à nouveau ni pouvoir observer le sourire de Feanor une nouvelle fois. Ces hommes qui ont bondi sur nous comme des prédateurs sur leurs proies, ces hideux bandits qui ont tenté de nos arracher la vie. J’ai eu si peur, j’ai eu envie de mourir pour mes frères. J’étais le plus jeune, celui qui devait être protégé. Foutaise. Il s’est jeté devant moi pour m’éviter les pires supplices, il a encaissé la souffrance la plus absolue pour m’épargner l’ultime sacrifice. Et lui, et lui, qui était là pour l’empêcher de crier. Qui était là pour arracher leurs sales pattes de son corps vidé de toutes forces. Leurs rires, leurs hurlements et leurs coups répétés qui broyaient l’horizon de nos vies. Cette terrifiante peur, celle de le perdre à tout jamais, celle de ne rien pouvoir faire. Et cette douleur insupportable, cette impression de s’effacer vers le néant un peu plus chaque seconde qui s’écoulait. C’était comme si mes entrailles voulaient s’enfuir de mon ventre en le déchirant douloureusement. Des larmes ruisselaient sur mes joues devenues sales par la poussière sur le sol, mes mains tâchées de sang serraient mon abdomen de toutes leurs forces. Je n’avais même pas assez de souffle pour crier, c’était comme si aucun mot ne voulait sortir de ma bouche pourtant grande ouverte. On croyait que ce genre de conneries n’arrivait qu’aux autres, pourtant ça nous est tombé dessus sans crier garde. Ca nous a prit en traître, ça nous a poignardé dans le dos. J’avais envie de mourir pour arrêter de souffrir, envie de m’éteindre pour ne plus devoir affronter la vision de Feanor agonisant. Nos regards ne pouvaient se séparer, et c’est ensemble que nous attendions la mort comme la plus belle des délivrances.

Et puis il y a cette silhouette ténébreuse qui s’est dressée entre nous et nos bourreaux. Et leurs rires se sont transformés en cris d’effroi, ce n’était plus notre sang mais le leur qui coulait sur les pavés gris. On leur aurait bien craché à la gueule pour se la jouer mecs qui sortent de ce grabuge triomphants, mais le regard de Feanor semblait trop livide pour qu’il ne puisse exprimer quoique ce soit, et les larmes qui ruisselaient de mes yeux me barraient la vue. Il n’y avait plus que nous et ce sauveur tant espéré. Ce n’était pas la mort mais la vie qui nous attendait et le peu de force qui me restait me permit seulement de sourire bêtement en chuchotant un faible « Merci … » avant de me laisser m’effacer, sûrement pour toujours.

Des jours plus tard lors de mon réveil, cette silhouette sombre semblait se dresser face à la mort à ma place. Ma bouche était pâteuse après tant de temps inconscient après la perte trop importante de sang, et cette question semblait faire monter le stress en moi. Je m’agitai pendant que les mains de ce parfait sauveur me maintenaient allongé. « Il … Il … Comment … » J’avais la tête qui tournait, et une folle envie de gerber, mais je m’en foutais bien. La voix de l’homme m’annonça de but en blanc que Feanor avait survécu, qu’il dormait encore et qu’il fallait attendre pour savoir. Je retombais mollement, comme vidé de toutes mes forces. Il était vivant, et c’était le principal.

Plus tard, lorsque l’aîné se réveilla, il ne sentait plus ses jambes sous les draps immaculés de l’hopital. Les médecins conclurent que les blessures avaient été si graves qu’elles lui avaient arraché l’usage de ses membres. Les deux autres frères pleurèrent énormément pour le plus âgé mais rien n’y fit, Feanor restait mutilé. Lui s’inquiétait davantage de la blessure de Liam qui lui avait laissé une large cicatrice sur le ventre, une forme de croix douloureuse. Le plus jeune des frères cachait bien sa souffrance aux yeux des autres mais ne pouvait dissimuler ses regards brillants adressés à l’inconnu qu’il les avait tous sauvé. Il dit qu’il s’appelait Shame, et ce prénom sonnait comme le plus beau de tous aux oreilles de Liam.

Bien plus tard, Feanor réussit miraculeusement à marcher. On apprit que c’était lié à un certain pouvoir que l’on appelait Innocence et que pour cela il devait partir. L’aîné emprunta le chemin du devoir pour faire de leur monde un univers meilleur, Liam décida de suivre Shame pour faire honneur à ce nouvel amour. Et Nathan se jura de venger ses frères pour l’affront que l’on avait osé faire à la famille Phoenyx.


I WOULD DRIVE ONTO THE END WITH YOU
Je pense bien que le monde est calculé. Je pense bien que tout est encadré. Que nos pensées sont tracées. Elle a mis fin à ta douleur, ouvre les yeux, le monde change.
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Dernière édition par SuperHyl le Lun 25 Juil - 17:13, édité 12 fois
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